lundi 25 octobre 2010

me llaman el desaparecido

























 

Le pavillon espagnol d'Igor Peraza, grand nid d'écailles d'osier tissé, structure évanescente que l'on croit rêver éveillé et, avec le pavillon britannique, mon architecture préférée à l'exposition universelle de Shanghai.








































Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

blabla